Au fur et à mesure, certains des liens sont désactivés, à la manière des folkloristes du XIXème siècle nous appelons de nos vœux à la sauvegarde de ce patrimoine avant qu’il ne disparaisse. Aussi nous publions là des données librement exploitables, que leurs producteurs ont bien souvent laissé à l’abandon. Lorsque je retrouvai sur le terrain l’un des possesseurs de ces blogs, il était la plupart du temps horrifié de savoir que ces choses qu’il avait complétement oublié étaient encore visibles par tous. Signe évident de l’inégale maîtrise du numérique, ceux qui restent aujourd’hui sont pour la plupart des blogs appartenant aux classes populaires.